photo La médiathèque a un nom : l’hirondelle

La médiathèque a un nom : l’hirondelle

Lecture - Conte - Poésie

Pleurtuit 35730

Le 27/04/2025

Inauguration du nom de la médiathèque, l'hirondelle & spectacle “Au bonheur de lire !” par la Compagnie Des Doux Sauvages. Dans un monde en constante évolution, les espaces culturels doivent non seulement s’adapter aux besoins des citoyens mais aussi incarner des valeurs et des symboles qui résonnent avec les usagers. Après 14 années d’existence, la médiathèque de votre ville a choisi de s’appeler "L'Hirondelle". => Spectacle “Au bonheur de lire !” par la Compagnie Des Doux Sauvages “Dans les rayonnages de la bibliothèque, Hortense Noisetier déambule. Cette femme semble sortie tout droit des dessins de Tardi, une Adèle Blanc-Sec matinée de Mary Poppins,à l’élégance victorienne… Elle arrive escortée de sa malle, comme parachutée d’un autre espace-temps, et prend ses quartiers tout naturellement dans ce qui lui semble être, le meilleur endroit au monde : une bibliothèque… ! Hortense devenue libraire-voyageuse, escortée par son chat Ulysse, se glisse de livre en livre, avec la capacité d’entrer dans les histoires, de rencontrer leurs personnages et même, de partager un chocolat chaud avec celle ou celui qui écrivit le livre. Elle voyage sur le mystérieux réseau universel qui[...]

photo Sortie de résidence : Mère et fille

Sortie de résidence : Mère et fille

Théâtre

Les Portes du Coglais 35460

Le 11/02/2022

Venez découvrir cette pièce de théâtre ! Les résidences de création consistent à accueillir des équipes artistiques dans le projet de saison du Centre culturel du Coglais. Elles offrent un espace de travail privilégié, en lien avec le territoire. Du 7 au 11 février, la compagnie Théâtre de l’Intranquilité (Thierry Beucher avec Alice Millet et Marie-Camille Le Baccon) travailleront leur dernière création « Mère et fille ». « Durant une nuit d’hiver, dehors, et pendant que le père dort, la mère et sa fille se parlent et s’affrontent à propos d’un événement qui a détruit leur relation. D’où vient la violence qui nous traverse ? Comment y répondre ? Pourquoi cette violence, celle du peuple, assignée le plus souvent aux faits divers, n’est-elle pas montrée comme le signe révélateur d’une domination plus sournoise, invisible ? Celle d’une organisation du monde qui agit non seulement sur les rapports sociaux , mais aussi familiaux, intimes ? N’est-elle pas plutôt le signe d’un manque, que l’on comble avec des injonctions morales, sans pour autant remettre en cause ce qui la fait surgir ? Et pourquoi ne dit-on jamais que la violence est parfois nécessaire pour que le cri soit[...]